| | Les mondes SUM.1.0 | |
| | Auteur | Message |
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Hayate Hirano
Messages : 5 Date d'inscription : 23/10/2017 Age : 28
| Sujet: Les mondes SUM.1.0 Jeu 26 Oct - 16:13 | |
| The time before. C'était un soir comme tous les soirs, une nuit banale, ordinaire, peut-être trop. Qui aurait pu imaginer que cette nuit changerait ta vie ? Que tu tomberais dans un monde différent du tien, que tu tomberais loin de la réalité à laquelle tu es habitué. Ce soir-là, tu étais assise sur ton canapé, une femme allongée près de toi, sur toi-même. Une bière sur la table basse, un gâteau au contenu suspect entre les lèvres. Tes joues rougies par l'alcool et toute autre drogue plus ou moins nocive, tes yeux n'échappaient d'ailleurs pas à cette couleur. Ta chemise à carreaux rouges ouverte, accompagnée de ton jean noir. C'est comme ça que tu t'es endormie, comme ça que tu es parties, comme ça que tu ne t'es plus jamais entièrement réveillé. Du moins pas réellement.
Soudainement, la chaleur du corps de cette femme a disparu, tes pieds nus ne sont plus sur la moquette de ton appartement, l'odeur de bière, de cigarette a disparu. La craie, ça sentait la craie, celle pour écrire sur les tableaux quand nous sommes enfants, à l'école. Puis l'espace qui était blanc prend forme, elle prend des couleurs, des chaises, des tables, des élèves. Une école, tu as toujours détesté l'école. Un petit garçon rond, un jeune qui aurait pu être toi à ton âge, si tu étais née dans le corps d'un garçon. C'était le Faiseur du monde, cet homme, cette femme, cette créature. Il était un enfant.
Les regards des enfants qui te jugent, tu haïs ces êtres, tu haïs les demi-portions. Le faiseur de monde savait, il te connaissait sûrement mieux que toi-même. Ta pire faiblesse, il l'a utilisé, puis avec le temps il t'en a créé des nouvelles, des peurs que tu ne pensais jamais avoir. Il a utilisé la pire carte à ton arrivée, puis la proposition était la suivante "Je vais réaliser tes rêves". De belles paroles, des mots balancés à flot pour te convaincre d'accepter.Tu as accepté, tu ne pensais pas que ça puisse être pire que ta vie. Tu t'es trompée. C'était le début d'une aventure en deux parties, une histoire qui n'est pas terminée, d'ailleurs se terminera-t-elle un jour ? Tu en doutes sérieusement. D'abord il y a eu granLago, le premier monde où tu es arrivée, c'était un monde futuriste, un monde que tu n'as que très peu connu, mais c'était un monde confortable, où tu aurais pu croire que le maître du jeu serait juste. Tu as rencontré du monde à granLago, mais tu en parleras en détail plus tard. Seulement ce monde calme n'a pas duré. Queen Anne's Revenge, tu as toujours rêvé d'être une pirate, mais ce rêve éveillé tant à dissuader. Entre la maladie, le mal de mer et le manque d'hygiène, on peut dire que ce n'a pas été facile, mais "du rhums, des femmes et de la bière non de dieux !". Am, Stram, Gram ce monde, pourrait passer pour un jeu, mais il n'en était rien. La guerre, les armes, la peur, tu as étais séparé d'une partie du groupe auquel tu commençais à t'attacher. C'était dur, violent mentalement. Festin Funeste tu iras deux fois dans ce monde, la première fois était un moment agréable, ton coeur ne battait plus, ton corps était froid, ta peau trop pâle et tes dents aiguisés, tu te sentais puissante, tu l'étais. Une vampire. Tu reviendras dans les mondes au retours de celui-ci. L'hôtel à Tours tu n'es pas restais longemps à tour, mais même si c'était un monde calme, banale presque ta vie amical, sentimental était un désordre monstre et tu as disparues des mondes pour un temps, pour mieux revenir.
Dernière édition par Hayate Hirano le Jeu 22 Nov - 21:29, édité 1 fois | |
| | | Hayate Hirano
Messages : 5 Date d'inscription : 23/10/2017 Age : 28
| Sujet: Les liens des premiers mondes Dim 29 Oct - 17:55 | |
| Les liens du passé. Aela C'était au premier jour de mon arrivée, le premier jour de ma vie dans ces mondes. Je découvrais le GranLago avec une espèce de fascination sans nom. C'est en visitant l'extérieur de la grande demeure que j'ai rencontré Aela, la bonne rouquine. Comment je décrirais cette femme ? Un volcan en ébullition ou pas loin de cet état. Un concentré de douceur, de colère, de non-dit et de regret sûrement. Une femme qui s'affirme, qui s'invente et se façonne chaque jour. Je l'ai connue sage et prude, puis avec le temps le volcan a explosé, une libération en soi Bizarrement j'étais attaché à cette femme, le genre que je n'aurais pas volontairement brisé. Le genre qu'on effleure seulement par peur de détruire ce qu'il y a de bon en elle. Sous ces jolies courbes et ces cheveux de feu, un caractère explosif, une façon de penser bien a elle. Elle était amoureuse de moi, j'ai frôlé son cœur de trop près. Nous avons pourtant été proches, parfois plus, parfois moins. Elle ne s'entendait pas vraiment avec Shun, mon copain. Si je venais à la revoir, l'ambiance serait-elle la même ? Satsuki Elle était seule et triste, elle était belle et semblait fragile, une poupée de porcelaine au sourire à l'envers. Un côté attrayant, aguicheur, une poupée qui attire, provocation, sensualité. Mon aguicheuse, Délicate et charnelle, le genre que tu désires goûter, d'ailleurs s'est exactement ce que tu as fait. « Je te redonnerais, ce sourire qui s'est envolé. » Est-ce-que ça a marché . Je ne m'en souviens plus vraiment. Une baignoire, un rapprochement, des bouts de sa peau contre tes doigts, tes lèvres, ta langue. C'était ma rencontre du deuxième jour, ma chaleureuse rencontre. Une envie soudaine de ne pas penser, ne pas réfléchir. Aujourd'hui elle est encore là, elle est des nôtres. Ces formes n'ont pas changé, son corps appelle toujours au délit. Il ne faudrait pas céder. Edward Charmant-mais-moue. C'était sur le Queen Anne's Revenge, c'est là que je l'ai rencontrée, il était perché sur son mat, une bouteille de Rhum dans les mains. Rien que là, de cette vision de choix, je me suis dit « Merde, on dirait moi. » Le rejoindre, passer du plancher au mat, réquisitionner la bouteille, lui demander des clopes. Nous avons parlé, nous nous sommes rapprochés. Du mec un peu trop mou qui me file une clope à celui qui me court après dans un vestiaire. De Charmant mais moue à mon Adrénaline. Il n'avait pas de limite, pas de fin dans l’excès, une boule d’énergie, d'amitié ou d'un truc que je ne saurais pas même décrire maintenant. Mon meilleur ami. - La piscine.:
J'étais en compagnie d'Edward, ce mec qui est sûrement aussi taré que moi, ce mec qui n'a pas de limite. J'aime le fait qu'il n'est pas de limite. Ce garçon à un brin de folie qui me pousse à rester pote avec lui, qui me donne envie de le connaître et d'apprendre jusqu'où vont ces folies. Ce jour-là nous avons pris de la kétamine assis sur un toit d'une boîte de nuit de la ville, le regard en l'air à parler en matant les étoiles. Cette impression d'être détaché de nos corps d'être haut, tout là-haut dans le ciel. Cependant l'effet apaisant a fini par laisser place au second moment « L’adrénaline » L'envie de bouger, faire les cons, de frôler le danger. Nous sommes repartis danser sur la piste, l'un avec l'autre puis l'un sans l'autre. Comme à mon habitude, j'ai fini par nous mettre dans la merde et parler de « piscine » … Nous devions aller à la piscine et nous l'avons fait. Passant au-dessus des grilles, ouvrant les portes de la piscine couverte et nous poussant à tour de rôle dans la flotte qui devait sans doute être assez fraîche...Mais que voulez-vous... La kétamine ne nous laissait pas le temps d'avoir froid. S'amuser avant que tout s'arrête. Je l'ai pincé puis poussé dans la piscine, une vengeance qui me semblait juste puisqu'il m'avait lui aussi poussé juste avant. Puis j'ai couru vers les douches pour qu'il ne m'attrape pas, mais il va bien plus vite que moi. Une fois attraper, j'ai eu l'occasion de sentir le mur froid sur mon dos et le bouton d'allumage de douche sur lequel j'ai appuyé avec mon dos, l'eau encore plus froide que celle de la piscine est tombée sur nous...Là, je l'ai sentie, la kétamine perdant sûrement de son effet. Nous étions trempés et pas au bout de nos surprises. Edward a plaqué sa main au-dessus de mon visage pressé le bouton d'alarme et ainsi appeler les pompiers. Jouant avec le feu nous sommes resté là, l'un en face de l'autre attend de voir qui serait le premier à partir se cacher puis finalement le bruit nous sommes retourné à la piscine avec le téléphone d'un des hommes qui avaient eu le malheur de nous croiser lors de notre soirée. Filmant quelque connerie sur le portable, j’entends finalement les pompiers et fais tomber Edward dans la flotte avec moi, je nous dissimule sous l'escalier veillant à ce que le téléphone aux vidéos compromettantes tombe à l'eau et meurt avec les souvenirs qu'il contient.
Je me souviens que cacher sous cet escalier les battements de mon cœur se faisait douloureux, la kétamine ne donne rien de bon. Les pompiers sont partis en balançant que sûrement deux adolescents étaient venue baiser dans la piscine, je ne peux m'empêcher de rire. Sûrement dû aux fringues sur le sol. Une fois que, ceux-ci partirent Edward et moi en firent de même. Pas sans difficulté. En résumé chez journal, ce gar' est comme une dose d’adrénaline qu'on te balance en pleine gueule. Sûrement le genre de personne dont j'arrive facilement à me sentir proche, oh pas sans me méfier, c'est certain ! Mais il me comprend parfois et me fait délirer.
Si je devais lui donner un nouveau surnom, ce serait sûrement ça « Mon Adrénaline » Je pense que c'est ce qui le représente de loin le mieux !
Haruka Bébé. Il était comme mon frère, un bout de douceur dans un monde de fous, sa chambre un lieu de refuge contre toute arme. Je n'ai jamais étais très attentionnée, ni même douce, mais avec lui, c'était différent. Il m'a ouvert les bras lorsque je n'allais pas bien, un refuge, un allié, un frère. Comment je pourrais ne pas le mentionner ? Je n'ai jamais étais très attentionnée, ni même douce, mais avec lui, c'était différent. Sûrement innocemment ou faussement innocent. Je l'ai rencontré à Festin Funest, dans la galerie de tableaux. - Partie du journal:
Comme un frère. Je ne parle pas souvent de lui, comme s'il n'était pas si important. Pourtant, il l'est, plus qu'une simple connaissance, il partage, mais moment de faiblesse, m'ouvre les bras quand je ne me sens pas de dormir seul. Je ne pourrais sans doute jamais lui avouer à quel point il devient important, qui aurait cru que moi la meuf qui n'arrive pas à créer de liens peut autant m'en faire ici ? J'avais un petit frère dans le monde réel, mais lui prend une place semblable. Aucun des deux n'est de mon sang et pourtant le lien est si fort. Chaque jour qui passe me rappelle à quel point il est dur d'avancer seule, mais je ne le suis plus.
Je sais que je ne suis pas la personne la plus attentionnée ni la plus douce, que j'ai un million de défauts et que mes doigts qui le pincent l'agace, mais il est si important. Comme une défense contre le monde autour, une poutre qui retient la fondation de ce que je suis. Une des pierres de base qui tienne un mur. Un domino en équilibre qui s'il tombe risque de faire suivre tous les autres. C'était il y a déjà un moment, nous étions dans le monde des vampires, j'étais dans une galerie découvrant pour la première fois le grand Japonais qui plus tard deviendrait « Bébé » Ce jour la je l'avais interpellé par un « Hey grand brun », si j'avais sus à quel point ce grand dadé serait de plus en plus présent dans ma vie après tout ça. Je me souviens de son cri de surprise pour lequel j'ai dû me retenir de rire, mais suite à ça nous avons fait connaissance et de fil en aiguille le voilà encré dans un coin de mon cœur. Cette page de mon journal lui est destinée, comme pour le cas où un jour si nous devons retourner dans nos mondes, je me souviens de lui. Mon bébé, car oui, pour moi, il a la bouille d'un bébé, c'est un mec bien, une personne qui mérite mon attention. Il n'a jamais levé la main sur moi ni blesser de quelque manière que se soit et je ne pense pas pouvoir le remercier de ces bras qu'il a gardés ouverts pour moi. De ces pincements qu'il a endurés provenant de moi. Bref. Je tiens à lui. C'est indéniable.
Mélie La jolie boulangèrent blonde, un sacré caractère dans un petit corps, une sacrée poigne pour une femme. Elle était charmante, comme la plupart des invités de mondes. J'ai tenté de la draguer, mais en vain, mademoiselle ma rapidement remise dans le droit chemin « Moi, tu ne dragueras pas. » Quel dommage. En réfléchissant mûrement elle est la seule des mondes à m'avoir foutus un mistral. C'était une bonne cuisinière et rien que pour ça je lui pardonne le coup de poing qu'elle m'a offert. Serte j'avais poussé le bouchon un peu trop dans ces yeux. Elle était borgne. Ce n'était pas de ma faute. Julie Aoi, Julie. Cette fille-là, même avant les mondes c'était ma vie, ma raison de chercher à me venger. Elle est arrivée tardivement dans les mondes et j'ai bien cru rêver. Comment cela pouvait-il être réelle ? Elle, ici ? Impossible. Pourtant si, entre la frappée et l'aimer, j'ai hésité. J'ai vibré d'envie de lui abîmer ce joli visage, puis de l'embrasser aux années passées. Si le Faiseur du monde choisit ces proies, s'ils les ramènent en fonction de nos envies, de nos haines, il a sus comment me troubler. - Une partie de ma vie:
Ça fait une baille hein . Avant je notais simplement quelque petite chose sur les personnes que j'ai rencontrées ici, mais maintenant je vais tout décrire, faire de mon mieux pour tout noter, pour me souvenir de tout ce qui est aujourd'hui dans ma tête. Depuis la dernière fois, beaucoup de choses ont changé, trop de choses. Me voilà seule dans une chambre qui n'est pas la mienne, une chambre sans effet personnel, une chambre d'emprunt, un peu comme ma vie. Soyons franc un instant tout le monde a déjà vécu une chose qui l'a changé et qui ne seras plus jamais pareil. Chaque mot, chaque geste que l'on a envers moi forge mon cœur, parfois mon corps. D'ailleurs, je me souviens d'il y a quelques années en arrière... Une fille : Aoi. Aoi, ce passage sera sûrement l'un des plus longs de ce journal. Aoi ou Julie, ce sont des souvenirs par milliers que se bouscule dans ma tête. Nous nous sommes rencontrées alors que je n'étais pas encore la fille que je suis maintenant. À cette époque j'avais encore les cheveux longs, elle était blonde très mignonne déjà. Elle était mon amie la plus fidèle, la seule sur laquelle je pouvais réellement compter, cette fille qui avait mis un pansement sur mon cœur abîmé. Nous avons passé tant de temps ensemble, l'une là pour l'autre et petit à petit mes sentiments envers elles ont évolué en la chose la plus terrifiante, la plus troublante, la plus excitante et la plus belle de toute : L'amour. Je n'osais pas lui dire, je n'osais pas lui expliquer que sa meilleure amie était lesbienne et qu'elle, c'était amouracher d'elle, que cette fille avec qui elle partagée tout était tombée amoureuse d'elle que lorsqu'elle était près d'elle, elle n'avait qu'une envie : l'embrasser. Ah cher journal, je suis soulagé de pouvoirs écrire ces mots en sachant que personne ne pourra rien contre moi, qu'ils ne pourront jamais être lus.
À cette époque, j'étais encore une fille fragile, une fille victime... Mais je n'étais pas si malheureuse encore, pas au point de vouloirs tout change. Pas encore. Puis un jour, j'ai décidé d'avouer ce que je ressentais à Aoi, dans une lettre que je lui ai donnée en mains propres avant de ne partir en courant. Cette lettre a eu l'effet d'une bombe... Surtout qu'après lui avoir donné entre ces doigts... Plus jamais, je n'ai eu de ces nouvelles, pas une. La douleur, le mal, la souffrance. C'est à ce moment que j'ai décidé de changer.
Aujourd'hui la vie à remis Aoi dans ma vie, elle est là et tout semble bien différent. Pourquoi a-t-il fallu que d'entre toute les personnes sur terre se soit elle qui reviennent. Celle qui est autant ma meilleure amie que celle qui est en partit la cause de ce mur autour de mon cœur. Je ne peux pas en parler, d'ailleurs je ne pense pas le vouloirs, je préfère que sa reste entre elle et moi, malgré que sa me ronge encore de l'intérieur que ça me crève le coeur, que je passe mon temps à m'en vouloir d'avoir eu le Coeur si offert à cette personne. Maintenant, on me demande de lui réouvrir mon cœur, mais j'ai si peur. Si peur d'avoir mal, de recommencer les mêmes erreurs alors que maintenant, j'ai quelque chose à perdre : ma fierté.
Léopold Léopold, alias l'enfoiré. Léopold qui se donnait pour surnom "bête de sexe". Ce mec-là, il était ... Quel mot peut réellement lui convenir ? J'étais attaché, il y a eu des hauts, des bas et des sous-terre, genre trop bas. Il était mon pilier, mon passe-temps préféré. Peut il a tout bousillé et je me suis venguis, Nous n'étions pas sages, pas calme. L'ouragan et l'incendie. Pourtant en vrai, on se kiffer. Un vrai pote, de vrai bon moment. Des danses lors du monde funest, des coups de gueule, des délires à n'en plus finir. << Il à de la chance d'avoir une couronne sur ton coeur. >> - ébauche de lui, de moi, de nous.:
Léo... L 'dieux, l'idiot, l'abrutit. Je remarque que je l'ai encore appelé par son prénom, c'est vraiment une belle connerie. Ce mec-là... Pendant un petit moment j'ai cru qu'il me redonnerait goût à quelque chose, j'ai cru que peut-être ce serait un gentil gar' avec qui je pourrais m'entendre, peut-être même un ami, un proche. Un quelque chose d’inexplicable tellement nous avons été proches l'espace d'un instant. Puis il a commis une faute, une erreur, un truc que je lui pardonne pas. Quand j'étais sur ce lit qu'il a planté ces crocs dans mon ventre, serrer sa mâchoire, puis écrasé de sa main mon visage et fais tomber de ce lit alors que finalement un peu avant je tentais de le consoler, nous nous étions rapprochée, nous avions partagé ce moment de complicité. Bref nous en revenons à la confiance qui est parti en couille et qui ne reviendra pas. Hyun Adorable, c'était son surnom. Je ne l'ai malheureusement pas beaucoup connus. J'aurais sûrement aimer le connaître d'avantage. Je suis persuadée qu'il était plein de mystère, d'inconnus. Un mec qui aurait peut-être changé la donne. Anastas Chef. C'est le meilleur ami de mon copain, c'est aussi celui qui m'a "dirigé" durant un monde entier. Je n'ai jamais su comment réagir, agir avec lui. Les lien qu'il possédait avec Shun a toujours eu un quelque chose d’ambiguë à mes yeux, peut-être aux leurs aussi. Seulement, je le respecte, c'est peut-être l'un des seuls de ces mondes que je respecte d'ailleurs. Il est encore ici, peut-être apprendrons nous à nous connaître. Wilhelm J'ai déconné avec lui, il a déconné avec moi. Donnant-donnant. Au fond avais rien contre lui, au fond c'était un type sûrement très bien. Au fond, je m'en veux un peu. Seulement je n'ai jamais su le cerner et les gens comme ça me fait un peu peur. Aujourd'hui, il est mort. Je ne pourrais jamais revenir sur mes pas. Charlie Une jolie blonde, l'actrice du groupe, la jolie demoiselle, celle dont je dessinais les traits avant les mondes. Nous avons passé de bons moments ensemble et de moins bon. Aujourd'hui, elle est encore là, peut-être que tout changera, peut-être que tout sera différent, plus plaisant. Au fond, je la connais pas très bien, puis ce n'est peut-être pas plus mal, les liens ça fait peur. Algernoon Concrètement, je ne l'ai pas connu, je ne sais pas vraiment qui il suis, pourtant lui semblait bien remonté. Il ne m'aimait pas . il avait sûrement ces raisons. Des raisons que moi je ne connais pas réellement. (Ma créa oui XD) un jour, je comprendrais peut-être, les regards noirs, de travers. Faiseur de monde Le master, le maître du jeu, le dieu qui se sert de nous comme des pions, des marionnettes, nous sommes peut-être son jeu favoris. Je ne sais pas quoi penser de lui, je ne connais même pas sa véritable apparence, il est une énigme à travers l'énigme. Shun C'était ma troisième rencontre, mon extrême rencontré. Il y avait dans le salon de GranLago ce canapé rouge, ce canapé de cette couleur qui pourrait être la nôtre. Passion. Il était assis, une bière dans la main et je m'étais installé en face. Je me souviens de cet instant comme s'il était tout près. Shun est encore là, mais tout est différent. Shun était là, une exception, le dégât de ma vie. Un homme, Japonais, les yeux bleus. Provocation, attirance, tension, passion, envie, maîtrise, conflit. Nous ne nous doutions pas qu'il poserait sa bière pour prendre mon cœur. Nous ne nous doutions pas de l'importance de notre lien. De ce qu'ils engendreraient. Que deviendrons-nous ? - Lui, lui, lui. :
Shun, Mon Shun. Ce passage de ma vie doit être écris quelque part, il doit être marqué à vie, comme dans ce qui me sert actuellement de coeur. Il y a bien trop de chose à dire, à écrire des choses que je ne pourrais même pas avouer en temps normal. Cependant aujourd'hui , sur ces pages je me permet d'écrire ce que je ressens, ce qui me touche, ce qui brouille mon esprit et qui fait taper mon coeur dans ma poitrine.
Je suis peut-être pas une fille sage, ni gentille.. D'ailleurs pourquoi devrais-je l'être ? Mais avec lui tout est trop différent. Ce n'est pas le genre que j'aime regarder en temps normal, il n'as pas de seins et puis tout ce qui va avec. C'est un homme, c'est mon exception.
Je me souviens le jour ou je l'ai rencontrée je tentais de le séduire, le draguer sans bute précis, puisque j'agis ainsi avec tout le monde. Je ne pensais pas sérieusement qu'il prendrait de la place dans mon coeur et très rapidement sans comprendre comment cela était possible je me suis retrouver irrémédiablement attirer par lui.. Par son corps, pire par son coeur.
Le souffle coupé je ne voulais juste pas réalisé ce qui se passait. Non Hayate, tu ne peux pas, tu ne dois pas. L'amour sa blesse, sa fait mal. Puis tu es bien la, entourer de filles, baiser de droite à gauche, draguer si tu en as envie.. Alors pourquoi.. Pourquoi se satisfaire d'une seule personne ? Puis chaque jour, chaque minutes ma tête n'était envahi que de lui, de son prénom, de son odeur, de ces gestes.. De l'envie affolante de vouloirs toujours l'avoir prêt de moi, voir en moi.
Au début, je me disais que ce n'était que physique, que sa passerais, puis après j'ai eu peur que finalement ce soit lui qui ne pense que ça, que mon physique et que ça lui passerait.. Mais non, non. Ce liens tient, je ne sais pas pour combien de temps, ni même si il se briseras.. Mais il est la ce lien. Et ce grand Japonais, mon Shun à prit mon coeur entre ces doigts il la serrer plusieurs fois entre ces doigts sans jamais l'écraser.
Je ne suis pas romantique, je ne me dis pas que se seras comme ça toute ma vie, je ne me dis pas non plus qu'on auras des gosses ou toutes ces conneries .. Non, je vis au présent et ce qui arriveras, arriveras. Mais faite que cela ne me détruise pas une deuxième fois, parce que je ne suis pas sur de pouvoir me passé de lui. Malgré mon égaux et ma fierté je pense que cette place que je lui est laissé dans mon coeur rien qu'à lui est encore trop faible pour ne pas se reboucher.
Bref, tout ces mots.. Pour simplement m'avouer.. Que je l'aime putain. Je l'aime.
- Un vrai noël:
C'était la veille de noël assise dans mon lit, j'entends quelqu'un frapper à ma porte, mais quand je me décide à me lever, car personne n'entre, je ne trouve derrière la porte qu'une pomme, un post-it et une boite à cadeaux. Sur le post-it, il était écrit "Change-toi", prenant la boite, j'entre dans ma chambre et ouvre ce cadeau. Un petit short et un débardeur d'un rouge vif, un rouge égale à la passion des sentiments que j'ai à l'égard de Shun. Brodée d'une pomme au niveau du cœur et le tout accompagné d'un paquet de clopes parfumées. À ce moment Shun ne sait pas encore quel est mon vœu, je crois d'ailleurs qu'il est l'un des seules tellement j'en suis heureuse de ce souhait ! Être homme ou femme à souhait, quel vœu aurais-je pus faire qui m'aurait fait d'avantage plaisir ? Je décide alors de laisser la surprise à Shun, pas sans appréhension... Car après tout, il pourrait très bien en être effrayée. J'enlève mes vêtements pour enfiler la tenue faite pour moi. Puis par-dessus, j'enfile un gilet et des talons .. Talons avec lesquels j'ai galéré à marcher. Objet de torture ! Je me regarde rapidement dans le miroir et part finalement pour l'ascenseur. Chambre 303 me voilà, d'ailleurs à ce moment, je me dis que nos chambres sont beaucoup trop loin. Pour l'occasion mes lèvres habituellement bordeaux était en rouge, rouge vif assortit à l'ensemble offert. Devant la porte de Shun une paire de chaussures identiques à celle qui ont périt dans la flotte lors d'une de nos disputes.. Je me souviens à quel point mon cœur, c'est serrer puis relâcher en libérant un poids immense dans mon quota de peine. J'enlève le gilet qui cache se jolie sous-vêtements et ouvre lentement la poignet et observe alors la scène qui s'offre à moi lorsque j'ouvre la porte. Un Shun quasi-nu avec écrit sur son torse au rouge à lèvres bordeaux "Joyeux Noël " J'ai sûrement du rougir au possible en le voyant ainsi, mais j'ai surtout dit le fin fond de ma pensée. "Joyeux est un mot trop faible, c'est un merveilleux Noël." Il a fini par me demander si ce n'était pas trop et j'aurais pu lui dire combien j'étais heureuse et que ce n'était jamais trop.. Puis que de toute façon malgré la gêne de m'être ramené ici en talon et très peu vêtu.. Il n'y a rien que je ne referais pas pour retrouver ce jour-là. Mais je n'en ai pas eu le temps, ces lèvres, on rejoint les miennes et nous nous sommes embrassé amoureusement avec une passion sans borne un peu comme mes sentiments envers ce Japonais aux yeux bleu. Pendant ce baiser, je deviens homme attendant sa réaction qui ne tarda pas. Ces sourcils se sont froncés et il s'est écarté de moi. J'ai cru un instant qu'il allait me laisser là.. Je lui offre un, je t'aime, chose que j'ai toujours autant de mal à dire, il a alors regardé au niveau de mon short, puis tâter ma poitrine qui n'est plus du tout présente.. Ca ne change pas trop. Puis il tire sur l'élastique de mon caleçon pour s'assurer que j'ai bel et bien une queue. Oui, je suis un homme Shun ais-je eu envie de sortir.. Mais ça ne se fait pas. Pas dans un tel moment.. Puis il pouffe de rire.. SOULAGEMENT ! Je me retrouve couverte de baisers.. Fin a ce moment "couvert" de baisers, un sentiment agréable, puis me voilà poussé dans le lit par un Shun surexcité et qui me fixe de ces si beaux yeux cyans. Il s'en suivit de chose plus intime, de ces mains qui découvre mon corps d'homme et redécouvre mon corps de femme, puis de nouvelles expériences qui nous font partager de nouvelle chose de plus en plus intime. Entre les mots, les gestes, les baisers et notre union. Cette nuit de noël fut forte en émotions comme en orgasme. EN bref un Noël avec Shun est un noël réussis.."
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