[†] Rapport : Sinbad Menethil.

Informations complémentaires :

PERSONNAGE ACTUELLEMENT DÉCÉDÉ
→ Personnage utilisé : Soldier 76 -OVERWATCH -

Sumnium Mundum

♠ Sujet En-Cours, ♠ Sujet Terminé, ♠ Sujet Abandonné, ♠ Sujet Hiatus, ♠ Sujet Event, ♠ Sujet Futur


♠ Titre du sujet ~ Nom des participants
♠ Titre du sujet ~ Nom des participants

†INTRODUCTION

♠ Arrivée sur ces étranges univers ~ Faiseur de Mondes.

†INTER-MONDE → GENBENDER

♠♠ Genbender ~ Communauté.

†MONDE#4 → AM, STRAM & GRAM

♠ L'inattendu attendu ~ Satsuki Baskerville.
Le Chaperon Rouge voulait apprendre à tirer, se défendre, mais le Loup n'a jamais voulu lui apprendre. Il avait trop peur d'amener la mort dans son cœur d'innocence.

♠ La Paix n'est pas que Guerre et vice-versa ~ Nathanaël Bacon.
Parfois, il faut savoir se poser les bonnes questions. Altercation entre Nathanaël et Sinbad sur un sujet pointilleux, l'obéissance dans un autre monde.

♠♠ STRAM ~ Escouade STRAM.

♠ Une découverte ? Des problèmes futurs ~ Aela Menethil & Satsuki Baskerville.
Une nouvelle n'arrive jamais sans son lot de malheur. Sinbad découvre sa fille en proie à des doutes, il la réconforte et après bon nombre de chose. Satsuki arrive peu de temps après, ainsi commence ces révélations.

♠ Révélation tendue ~ Anastas Koleskinov.
L'heure des révélations pour beaucoup de chose, mais le tout s'est bien tassé. Les avis divergent, mais se rejoignent malgré tout. Sinbad a pu parler sans trop craindre les foudres d'un personnage intouchable. La nuit porte conseil souvent.

♠ Ne baisse jamais ta garde ! ~ Julie Lavory.
Il remarque qu'une femme s'entraîne, mais ses gestes sont désordonnés, faux. il rectifie tout ça et essaie de lui inculquer certaines bases connues. C'est la moindre des choses qu'il peut faire, il se trouve ici un exécutoire dans l'apprentissage.

♠♠ Solution Finale ~ Communauté.

†THE END

♠ The End ~ Aela Menethil & Anastas Koleskinov.
L'envie de vivre n'y est plus. La bataille a fait trop rage, cet homme est brisé depuis trop longtemps. Malgré les pleurs de sa fille, il n'a fait que suivre le chemin le plus facile. Il est un lâche et ne le sait que trop bien. Adieu.

RAPPORT ^#1

INTRODUCTION :

02/09/2016

La situation ne semble pas catastrophique, loin de là. Cette première entrevue avec le Faiseur de Mondes n'a pas été mouvementé : elle m'a laissé une bonne impression.... Il ne semble pas avoir d'animosité à mon égard, et je n'en ai pas contre lui malgré toute la suspicieux que j'ai.... Nous sommes partis sur de bonnes bases. Cela ne veut pas dire que je lui fais confiance.

C'est indéniable, je ne peux pas lui donner, mais je me plie à ce qu'il me raconte, m'offre comme informations -utiles ou non-.

Je ne comprends pas ce qu'il cherche à faire. Il me raconte, me décrit le tout, mais je ne peux pas mettre le doigt sur l'ombre qui recouvre tout son projet. Ma méfiance est celle que tout homme devrait avoir devant l'inconnu, il me montre ce mur blanc, il me laisse observer ma fille, mon fils. Je ne peux qu'être surpris. C'est impossible. Impossible. Toutes ces photos sont truquées, il me promet que non. Je commence à voir un peu mieux dans ce jeu. Je comprends mieux ce qu'il se passe.

C'est indéniable, je ne lui fais pas confiance, mais je courbe l'échine à ses ordres, ses mots qui sonnent comme des conseils.

La discussion est courte, j'ai vu et entendu tout ce qui peut être important, il me laisse franchir cette porte. Ses mots résonnent comme une douce mélodie, mais je ne me fais pas avoir, je n'accorde que peu d'importance à ces conseils, si j'avais su, je n'aurais peut-être pas osé fuir cette réalité pour celle qui se présentait à moi. Si j'avais su j'aurais osé poser les questions qui restaient en suspens. Je ne veux que retrouver mes enfants et rentrer. Mais « rentrer » est un bien grand mot.

C'est trop facile.

RAPPORT ^#2

GENBENDER :

04/09/2016
à 18/09/2016

Je commence à tout comprendre, mais je n'aime pas ce que j'aperçois. Mon corps me semble si lourd, si lent. Je n'aime pas cette sensation, je trouve que c'est exagéré. Quatorze malheureux jours coincés dans un corps qui aurait pu être le mien. Un corps que j'aurais pu aisément m'adapter, mais je n'en voyais pas l'envie. Je me sentais bien trop différent, les humeurs déréglées. C'est assez surprenant de voir ce que vit une femme. Je pensais cela comme un handicap, je m'acharnais sur ces même femmes à l'entraînement. La compagnie des Diables Rouges² me manque. Elles ont un caractère si fort, elles sont solidaires et savent ce qu'elles font. Cela ne m'empêche pas du tout de ne pas apprécier ces ballons. C'est ici-même que j'ai rencontrer le reste du groupe. Tous avaient inter-changés de sexe, c'était assez confus comme situation. Tout pouvait aller de bon train comme de mauvais train.

Cela avait déjà commencé avec l'écrasement d'une tête d'un homme un peu trop irrespectueux avec ses aînés, après tout, je n'avais pas compris les enjeux, j'étais perdus, et surtout je n'arrivais pas à m'adapter. Un rêve, c'était un rêve, mais les sensations étaient si réelles. J'avais fini par garder mes habitudes, entraînement, observations. C'était un calvaire, mais j'avais réussit à savoir à peu près qui était qui, sans véritablement le garder en mémoire. Retrouver ma fille, la serrer dans mes bras, c'était agréable comme sensation.... Mon fils était là aussi, il était présent, je n'ai pas eu l'occasion d'avoir une discussion avec lui, mais je n'étais plus en colère, s'il pouvait un jour me pardonner, je ferais sûrement le même geste. Tout me manque, tout me manque. Je ne sais plus ce que je dois faire, observer les environs et me tenir là, prêt à accourir si quelque chose va pas, mais ce « monde » semble si calme, une pause avant une déflagration, une bombe. Oui, une pause pour nous préparer à plus et pire. Je ne souhaite pas être confronté à un problème insurmontable, mais il le faudra un jour où l'autre, malgré les secrets, les rancœurs, il faudra y faire face.

Personne n'a dit si cela sera facile.



². 152e régiment d'infanterie, armée de Terre.

RAPPORT ^#3

AM STRAM GRAM :

18/09/2016
à 26/10/2016

Ce nouveau monde. Il ressemblait trait-pour-trait à celui que nous connaissions tous. J'avais reconnu sur les cartes de nombreuses choses qui m'indiquaient la Suisse. L'année ? Je n'en savais rien, je n'avais pas cherché à le savoir, je comprenais juste qu'une patrie amie avait besoin de nous. J'avais retrouvé mon corps d'origine ce qui n'était pas rien. Je me sentais mieux dans un corps familier. Je comprenais ce que cet homme cherchait à obtenir. Jonah Alberreith, colonel de grade dans cette base. Il appelait à l'aide. L'Ordinateur contrôlait le tout, c'était étrange et cette phrase, toujours la même.

« Soyez heureux. Le bonheur est un devoir. »

Je ne savais pas quoi en penser. Le plus étrange était le manque d'information, nous étions plusieurs à chercher, à comprendre à l'aide des archives, mais c'était tout ce qu'on avait sous la main. Mes recherches n'ont pas apporté grand chose à la situation. Je savais simplement que nous traquions des « Sorcières »/ « Sorciers » je n'avais rien d'autre de plus concret. Bien sûr, cette même description menait au fait que nous possédions nous aussi des pouvoirs, le groupe n'en était pas dépourvu. Beaucoup de malchance dans le mystère du tirage au sort : posséder un goût sur-développé, n'aurait aidé personne, je ne me voyais pas devenir un goûteur ou je ne sais quoi. Voir l'avenir à travers les entrailles, un pouvoir intéressant, mais je ne pensais pas en avoir besoin, ce n'était pas quelque chose qui me plaisait, mais toujours plus efficace que de calmer les tempêtes en faisant le poirier. Je ne saisis pas ce que le Faiseur de Mondes cherche à faire, mais ce n'était qu'une grotesque farce.

Les équipes étaient formés, j'étais à la tête du deuxième pelotons, ce n'était pas pour me réjouir, trop de civile et de personnes qui ne savaient pas manier des armes ou bien une forme de combat à mains nues. Prendre congé de tout ceci pour être rappelé à l'ordre d'un soucis d'insubordination, un cas délicat à réglé mais fait. Je n'aimais pas qu'on commence à douter du groupe, il fallait se tenir aux ordres pour le moment. Autant de temps qu'il le fallait pour comprendre la situation.

La première mission du groupe STRAM était lancé, un échec monumental. Je m'y attendais en faite, je savais que le groupe n'était pas prêt, mais j'ai pu voir de loin cette gamine, j'ai pu comprendre que nous ne faisions pas le poids malgré tout, malgré la technologie que le Colonel avait mis à notre disposition. Nous avions simplement une adresse pour la rencontrer, mais rien de plus. Rentrer bredouille était assez honteux, mais cela n'avait fait qu'affecter encore plus mon humeur. Je n'étais pas bien, je retournais sans cesse les phrases de cet être sans nom. Il fallait que j'en discute avec quelqu'un qui serait de confiance. Aela n'était pas la bonne personne, je la savais impulsive, je devais donc m'adresser à Anastas Koleskinov, c'était l'un des seuls qui semblait réfléchir sur la situation.

Mon entrevue avec cet homme a été fructueuse, chacun a donné sa part d'information, mais cela n'a fait qu'aggraver mon cas. Je me demande si j'arriverais à tenir le coup. Je ne sais pas et j'ai peur je dois avouer.

***

Un message, nous avons été trahit par le Colonel, il faut tout de suite partir sur le lieu de rendez-vous, des hommes sont à nos trousses. Nous ne pouvons pas rester. Je commence à saisir, tout se mélange et nous avions raison de nous méfier. Il nous faut nous préparer.

***

La mission est un échec autant qu'une réussite. Je ne sais pas quoi écrire.... Nous avons rencontré la résistance, Trap et Minna, combattu avec eux, mais nous avons perdu tant d'hommes.... Willhem est mort.... Minna aussi.... Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, je pensais avoir tout calculé, rien, non rien.... J'ai échoué, j'ai.... Ça va rester, je ne peux pas voir encore des gens mourir, je ne suis pas comme ça, j'essaie de changer. Je ne sais plus ce que je dois faire. Nous avons perdu un membre du groupe, nous l'avons laissé mourir sans lui porter assistance..... Nous sommes devenus des monstres ? Je sais que ce monde me brise, je sais que je ne peux plus supporter cette situation. Ce rapport est le dernier de ma main. Mon parcours s'arrête ici-même.

Je ne sais pas quoi écrire de plus, peut-être un pardon. Pardon d'être lâche, pardon de fuir. J'ai échoué.

Adieu.

RAPPORT ^#4

INFORMATIONS :

28/10/2016

La Mort n'est rien comparé au Rien. Sinbad n'est plus, sa fille lui a donné la mort suite à sa demande. La vie était simplement trop dur à encaisser. Les fantômes de son passé l'agressaient de toute part, il ne faisait que se rappeler ses fautes de guerres. Beaucoup trop de choses qui ont réveillé les traumatismes de guerre dû au Kosovo. Une balle en plein cœur, il ne restera de lui rien à part des cendres.

Il est mort en lâche.